L’installation de plaques d’immatriculation écologiques sur les véhicules électriques est-elle un gaspillage d’argent ?

LE gouvernement a entamé des discussions pour voir si le Royaume-Uni peut devenir le premier pays du G7 à atteindre un objectif de zéro émission nette d’ici 2050.

Rien de mal à cela et Visordown est tout à fait pour, mais est-ce que permettre aux véhicules à zéro émission d’utiliser des plaques d’immatriculation vertes aide, ou est-ce un gaspillage de l’argent des contribuables ?

L’idée derrière le programme est d’aider à sensibiliser au nombre de véhicules «verts» déjà en circulation. Nous supposons qu’en faisant cela, les automobilistes utilisant de l’essence ordinaire ne se sentiraient pas si déplacés s’ils faisaient le changement.

Le secrétaire d’État aux Transports, le député Grant Shapps, semble le penser, allant même jusqu’à dire que cela pourrait aider à « dynamiser » la course aux routes à zéro émission au Royaume-Uni. Il a déclaré: «Le Royaume-Uni est aux commandes des efforts mondiaux pour lutter contre les émissions des véhicules et le changement climatique et améliorer la qualité de l’air, mais nous voulons accélérer nos progrès. Les plaques d’immatriculation vertes sont une façon vraiment positive et excitante d’aider tout le monde à reconnaître le nombre croissant de véhicules électriques sur nos routes. En sensibilisant davantage à ces véhicules et aux avantages qu’ils apportent à leurs conducteurs et à notre environnement, nous accélérerons la révolution zéro émission.

Une déclaration sur le site Web du DfT accompagne la nouvelle. Il se lit comme suit: «Alors que le Royaume-Uni progresse rapidement vers des émissions nettes nulles, l’initiative vise à sensibiliser au nombre croissant de véhicules à zéro émission d’échappement sur les routes britanniques, à aider leurs conducteurs à bénéficier plus facilement d’incitations locales telles que le stationnement gratuit ou moins cher. et encourager une plus grande adoption de la nouvelle technologie automobile.

«Grâce à l’introduction de plaques d’immatriculation vertes, les autorités locales disposeraient d’un identifiant visuel utile si elles souhaitaient introduire des incitations pour promouvoir l’utilisation de véhicules à zéro émission, comme permettre à ces conducteurs d’utiliser les voies réservées aux bus et de payer moins cher pour se garer. Un programme similaire a été mis à l’essai en Ontario, les conducteurs de véhicules électriques ayant accès gratuitement aux voies à péage et aux voies réservées aux véhicules à occupation multiple. L’Ontario a connu une augmentation des immatriculations de véhicules électriques.

Ainsi, la «Road to Zero Stratergy» bat son plein et coûte aux contribuables britanniques 1,5 milliard de livres sterling. Les plaques d’immatriculation vertes pour les véhicules électriques et zéro émission sont-elles une utilisation intelligente d’une partie de cet argent, ou un gaspillage total ?

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