SECOUER, CLIQUETER ET ROULER. Non, je ne parle pas du hit de Big Joe Turner. Je parle de ce qui se passe lorsque vous traversez l’une des légions de nids-de-poule de Grande-Bretagne.
Et après la récente vague de froid, il semble que le tarmac soit maintenant encore plus défraîchi, avec de nouvelles crevasses qui surgissent (ou s’enfoncent) à gauche, à droite et au centre.
Il n’est donc pas surprenant que le RAC ait mis au point un guide ironique sur le Great British Pothole, détaillant les salauds que vous êtes susceptible de rencontrer lors de votre trajet quotidien.
Le premier est le GBP classique lui-même, qui laissera probablement votre vélo aussi dévalué que la monnaie post-Brexit. Décrits par l’organisation automobile comme « plus fréquents dans les centres-villes que les pigeons », ces trous sont souvent soumis à la réparation « patch and dash » et ne restent jamais fixés longtemps.
Ensuite, il y a Alcatraz, décrit comme une « île » ou un « groupe de nids-de-poule », qui sont difficiles à éviter en raison de leur taille, de leur emplacement ou de leur nombre. Vous ne voulez pas en rencontrer un sur deux roues, sinon vous risquez de tomber sur un recadrage.
Le slalom, quant à lui, n’a pas besoin d’être présenté, et il est aussi dangereux pour les motocyclistes que la course dont il porte le nom l’est pour, eh bien, tout le monde.
Et le dernier mais non le moindre vient le Sniper, nommé pour sa tendance à apparaître de nulle part et à vous faire sortir. Bonne chance pour vous frayer un chemin à travers ce désordre routier impie.
Bien sûr, il y a beaucoup d’autres problèmes dangereux auxquels nous sommes confrontés quotidiennement sur les routes britanniques. Cliquez ici pour lire le guide complet du RAC sur les revêtements routiers de merde.
Et n’oubliez pas de signaler vos trous locaux ici…