L’ancien patron de Norton, Stuart Garner, condamné à rembourser 14 millions de livres sterling !

L’EX-patron de NORTON, Stuart Garner, est condamné à rembourser 14 millions de livres sterling sur les fonds de retraite dont il était l’administrateur. La nouvelle survient après que le médiateur des pensions a jugé qu’il était «malhonnête» dans sa gestion des régimes à la suite d’une longue enquête.

L’enquête a commencé après que Garner n’ait pas réussi à transférer des fonds au régime de retraite Commando 2012, au régime de retraite Donington MC et au régime de retraite Dominator 2012. Au lieu de débloquer les fonds dans les programmes, ce que le fiduciaire devrait faire dans les six mois, Garner a investi l’argent dans la marque en difficulté Norton Motorcycles.

L’enquête sur le scandale a été ouverte après que 30 membres des trois régimes se sont plaints que Garner n’avait pas non plus débloqué des fonds pour restituer les fonds aux titulaires de pension à leur échéance.

Le rapport, que vous pouvez lire dans son intégralité ici, indique que Garner a agi « de manière malhonnête et en violation de son devoir de non-conflit », poursuivant en disant que Garner était peut-être mal qualifié pour gérer un tel stratagème. Il se lit « Le syndic [Stuart Garner] a manqué à son obligation légale d’avoir acquis une connaissance et une compréhension de la loi relative aux pensions et aux fiducies »

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Le Médiateur ordonne à Garner de rembourser un montant total d’environ 14 millions de livres sterling aux membres du régime de retraite, ainsi que 180 000 livres sterling aux 30 demandeurs initiaux pour « mauvaise administration exceptionnelle causant une injustice ».

Le Guardian rapporte que Stephen Timms, le président de la commission restreinte du travail et des pensions du Parlement, a déclaré : « M. Garner, dont les antennes morales émoussées ont été si émoussées par le médiateur, doit maintenant se conformer à cette décision et restituer immédiatement ses économies.

« Tout retard supplémentaire sera d’autant plus douloureux pour les épargnants que des inquiétudes concernant ce programme ont été soulevées dès 2014, mais d’une manière ou d’une autre, même ces sonnettes d’alarme n’ont pas suffi à empêcher ce résultat.

« Cette affaire choquante soulève de sérieuses questions sur l’efficacité des régulateurs impliqués et les protections dont nous disposons pour les personnes victimes d’escroqueries à la retraite. »