Le ‘Bot Tesla’ s’apprête à faire de la fantaisie future (et de mes cauchemars) une réalité…

Le PDG et fondateur de Tesla, Elon Musk, vient d’annoncer sa dernière tentative pour entraîner son entreprise et, par extension, tous les autres dans un avenir qui ne vivait auparavant que dans les films avec l’avant-première de… le Tesla Bot.

Oui, nous sommes au stade des robots humanoïdes. Si vous n’avez pas regardé I, Robot, faites-le par tous les moyens car le prototype est étrangement familier. Que l’intrigue reflète la fiction est un cauchemar différent!

[ED: OK, so this may be a slightly tenuous article for a website like Visordown but the combination of those tenuous links and the startling implications it could have on the human race generally are credential enough for it to qualify here.]

Revenons donc au bot Tesla.

Il est en cours de préparation pour un événement Tesla AI, qui devrait avoir tout le razmatazz, la fanfare et l’ambiance palpable d’idolâtrie sectaire semblable à un événement de lancement de téléphone Apple et ce robot est développé pour être multifonctionnel et même assez indépendant.

Permettez-moi de vérifier que ce n’est pas le 1er avril pour vous (ce n’est pas le cas), mais ces robots pourraient être utilisés dans les usines automobiles de Tesla avec suffisamment d’intelligence programmée pour manipuler et utiliser des outils. En étant cynique un instant, on peut imaginer que les fabricants du monde entier lorgnent sans aucun doute sur une main-d’œuvre mécanique dont vous n’avez pas besoin de payer un salaire annuel.

Peut-être encore plus révélateur est la perspective d’en rencontrer un à Tesco alors qu’il complète la boutique hebdomadaire ou frappe à votre porte pour livrer votre colis Amazon.

La mécanique derrière le visage est basée sur la technologie autonome pilote automatique pionnière – mais controversée – de Tesla, utilisant huit caméras pour reconnaître son environnement et s’adapter.

Cependant, c’est une fonctionnalité qui a suscité des critiques de la part de certains pour avoir induit les conducteurs dans un faux sentiment de sécurité lors de la sélection de l’engagement, tandis que les tests de véhicules autonomes ont révélé qu’ils n’avaient pas un taux de réussite suffisant pour repérer les motocyclistes autour d’eux lors de l’exécution de manœuvres. .

Là encore, dans ce scénario, le seul accident serait s’il sortait sur la route… et franchement, s’il n’est pas programmé pour regarder un téléphone portable tout en déposant le trottoir et dans le chemin de la circulation, c’est peut-être un avenir avec lequel je peux vivre.