Harley-Davidson nomme Jim Farley, PDG de Ford, à son conseil d’administration

HARLEY-DAVIDSON a nommé Jim Farley, PDG de Ford, en tant que nouveau membre du conseil d’administration pour essayer de donner vie au géant de la moto et aider à se préparer à un avenir électrique.

Jim Farley se joint en tant que seul nouveau candidat au conseil d’administration en avril, et les actionnaires ont été informés dans une lettre du PDG de HD, Jochen Zeitz. Farley a été nommé PDG de Ford en octobre, et maintenant Farley et Zeitz vont travailler ensemble en embrassant l’avenir du transport électrique.

Revue Harley Davidson LiveWire

Jim Farley est dit avoir de l’expérience avec Harley-Davidson dans le passé, mais peut-être uniquement à travers sa collection de motos classiques qui comprendrait quelques motos Harley classiques.

Le géant américain cherche à jeter de nouvelles bases pour son avenir, les récentes versions de Pan America et LiveWire élargissant leurs offres actuelles dans l’espoir d’attirer une clientèle plus large.

Zeitz envisage clairement que l’avenir de Harley-Davidson va de pair avec l’énergie électrique, puisqu’il a récemment embauché un «chef des véhicules électriques» le mois dernier et a été signalé être champion du LiveWire lorsqu’il était lui-même membre du conseil d’administration.

Harley-Davidson cherchera à investir massivement dans ses motos électriques

Sous la direction de Jim Farley, Ford a dépensé 22 milliards de dollars pour électrifier ses gammes de modèles actuelles, et avec Harley-Davidson vendant 103 650 vélos sur son marché domestique en 2020 (malgré le nombre scandaleusement élevé, c’est une baisse de 22% et le plus bas en près d’une décennie ), ils chercheront sans doute à investir dans leurs futurs modèles dans les mois à venir (et au-delà) pour éviter une nouvelle stagnation de la marque.

Ces nouveaux propriétaires de Harley vont devoir venir de quelque part.

Le fabricant de Milwaukee cherchera à former une division autonome de motos électriques à l’avenir, et ils ne plaisantent absolument pas lorsqu’il s’agit d’investir – et d’espérer devenir un leader dans – une industrie en développement.